Le prêtre qui a été abattu à Lyon la semaine dernière avait une liaison avec la femme du principal suspect, selon les procureurs.
Une histoire d’adultère ?
Nicolas Kakavelakis, 52 ans, a reçu deux balles dans l’estomac avec un fusil à canon scié alors qu’il fermait l’église grecque orthodoxe de Lyon le 31 octobre. Il a été grièvement blessé et n’a pu parler aux enquêteurs qu’après être sorti du coma mercredi.
On a d’abord craint que l’attentat ne soit lié à la terreur, car il s’est produit quelques jours après que trois personnes aient été poignardées à mort dans une église de Nice. Cependant, les enquêteurs ont maintenant écarté ce motif après avoir arrêté un homme de 40 ans soupçonné de tentative de meurtre.
« Il s’avère être le mari d’une femme qui avait une liaison avec la victime« , a déclaré le procureur Nicolas Jacquet dans une déclaration. Le suspect a fait des « aveux complets » après avoir été arrêté vendredi, a ajouté M. Jacquet.
Il s’agit d’un père de famille géorgien qui vivait près de l’église, selon le journal Le Parisien. Sa femme, qui serait une Russe de 35 ans, a également été arrêtée. Le procureur a déclaré que l’enquête « continuera à établir le mobile et le déroulement exact des faits« .
M. Kakavelakis avait été prêtre dans l’église du 7ème arrondissement de Lyon pendant 10 ans mais a remis sa démission le mois dernier.
Une relation adultère finit-elle toujours mal ?
Évidemment que non, cette histoire lyonnaise est absolument sordide et il ne faut pas en faire une généralité. C’est d’une part extrêmement rare et d’autre part extrêmement grave. Bien qu’il faille reconnaitre que ce type (crime conjugaux) est effectivement sur-représenté. On parle pour l’année 2020 de 106 crimes perpétrés et 90 victimes sont des femmes.
L’adultère plus commun qu’on ne le pense
Quoi qu’on en dise, je vois déjà certain dresser le spectre de la morale, les gens font bien ce qu’ils veulent tant qu’ils ne tue pas leur conjoint ! Et quoi qu’on en dise les relations adultères existent bel et bien. Ouvrons les yeux et cessons la morale extrémiste. Selon l’institut IFOP, ce seraient 48% des femmes françaises qui auraient eu une relation d’infidélité « physique », comprenant : baiser, rapport sexuel et relation suivie. Il semblerait même que 16% des personnes interrogées vivaient au moment de l’étude une relation extra-conjugale.
On parle donc là bien d’un fait relativement commun ! Et ramené aux chiffres on peut facilement déduire qu’une rencontre libertine ne débouche pas forcément, et loin s’en faut, sur un crime.
Faire une rencontre libertine sans risque
Une relation extra-conjugale n’étant pas toujours préméditée, il est important de savoir que les amateurs peuvent toutefois se simplifier la vie en passant par des sites internet dédiés aux relations libertines extra-conjugales. Alors comment faire des rencontres libertines en ligne ? Rien de plus simple, vous identifiez le site Internet qui convient le mieux à votre éthique, à votre pratique, à vos envies et besoins, vous vous inscrivez et vous pourrez ainsi rencontrer des tas d’hommes et femmes souhaitant, comme vous, avoir une relation ponctuelle ou soutenu, dans une totale discrétion. Il y en existe beaucoup et vous n’aurez aucun mal à trouver chaussure à votre pieds en consultant Google.